Traumatisme crânien

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Pourquoi faut-il être accompagné par un avocat formé à l’évaluation des traumatisés crâniens ?

Désorganisation, pertes de mémoire, agressivité, désinhibition, grande fatigue ou, à l’inverse repli sur soi, si la victime d’un traumatisme crânien peut apparaître à première vue « comme tout le monde », pour la personne qui partage sa vie, ses enfants ou ses parents, elle n’est plus la même.

C’est ce handicap invisible, ces troubles du comportement et cognitifs, qu’il faut savoir mettre en lumière pour que la victime d’un traumatisme crânien soit reconnue dans tout son dommage corporel. 

Ludovic HAISSANT, avocat en dommage corporel, fondateur de QARIUS s’est formé auprès de praticiens spécialisés dans la prise en charge des traumatisme crâniens.

Il est lui-même diplômé depuis 2015 en évaluation des traumatisés crâniens.

Avec implication et humanité, il assiste quotidiennement des victimes de traumatismes crâniens et leur famille pour que le montant des indemnisations proposé par les responsables et les assureurs soit à la hauteur des préjudices subis. 

L’indemnisation du traumatisme crânien grave, modéré ou léger ne doit minimiser aucun préjudice

En effet, un traumatisme crânien, même léger, peut avoir de graves répercussions sur la vie de la victime : inaptitude à l’emploi et licenciement, fatigabilité, trouble de la vision, de l’odorat (anosmie), de l’audition, dépression, épilepsie. L’indemnisation du traumatisme crânien doit être à la hauteur de la réalité du quotidien, sans minimisation et sans oublis.

À ce titre, la plupart du temps, le handicap de la victime a aussi des répercussions importantes sur ses proches qui deviennent des aidants : burnout, disputes, divorce, perte d’emploi…Ces conséquences doivent également être indemnisées.

Il est donc indispensable que la victime et ses proches soient défendus au plus tôt par un avocat en dommage corporel expérimenté dans l’évaluation et l’indemnisation des victimes de traumatismes crâniens et par un médecin spécialiste afin que leurs droits soient préservés et que l’ensemble des préjudices soient reconnus.

La victime et ses proches pourront ainsi préparer dans les meilleures conditions les expertises médicales qui se tiendront pour évaluer les préjudices, en étant accompagnés et écoutés avec bienveillance par des praticiens indépendants des assureurs : 

  • une évaluation neuropsychologique indépendante doit être réalisée, parfois de nouvelles IRM
  • un ergothérapeute et un spécialiste en aménagement du domicile doivent intervenir, si nécessaire, au domicile de la victime pour déterminer si le logement peut être adapté ou s’il faut en changer
  • une évaluation en UEROS (unités d’évaluation de réentrainement et d’orientation sociale et professionnelle) pourra être réalisée et permettra d’éclairer encore les répercussions de l’accident sur la victime

La mission même de l’expertise médicale devra être débattue pour qu’elle permette une évaluation des préjudices conforme aux intérêts de la victime et à la jurisprudence applicable.

Ce n’est qu’avec ce niveau d’exigence que les victimes de traumatisme crânien et leurs familles seront protégées dans l’indemnisation de leurs préjudices et retrouveront la dignité qui leur est due.

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